Dès lors que l’altération de l’état de santé du salarié était en lien avec le comportement de l’employeur dont les agissements répétés avaient eu pour effet une dégradation de ses conditions de travail, la cour d’appel a pu en déduire que la prise d’acte devait produire les effets d’un licenciement nul (Cass. soc., 20 septembre 2018 n°16-26.152).
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